A vous mes compagnons du désert (confinement)

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A  vous  mes compagnons du désert (confinement),

Le désert, le silence … et 

“Le Seigneur dit : « Sors et tiens-toi sur la montagne, devant le Seigneur : voici, le Seigner va passer. » Il y eut devant le Seigneur un vent fort et puissant qui érodait les montagnes et fracassait les rochers; le Seigneur n’était pas dans le vent. Après le vent, il y eut un tremblement de terre; le Seigneur n’était pas dans le tremblement de terre. Après le tremblement de terre, il y a un feu; le Seigneur n’était pas dans le feu. Et après le feu, le bruissement d’un souffle ténu. Alors, en l’entendant, Élie se voila  le visage avec son manteau; il sortit et se tint à l’entrée de la caverne. (1 Rois 19,11-13)”

Pour nous aider à entendre ce “bruissement” : La Prière du Père Charles Singer « Seigneur, pour un temps je me tairai et je T’écouterai » :

« Pour un temps je me tairai. De silence et de solitude, je m’entourerai,  et ce sera comme en plein désert.
Je T’écouterai, Seigneur, et je Te regarderai T’asseoir à la table de Zachée le voleur et ouvrir les yeux de l’aveugle ; pleurer la mort de Lazare, Ton ami, et remettre sur pied ceux qui n’en peuvent plus ; pardonner à ceux qui crient des injures, tout donner, ton Corps, ton Sang, ta Vie et ta Joie d’aimer sans rien retenir pour Toi.
Tes paroles, je Les savourerai, comme du pain frais au réveil. Je Les mettrai dans mon cœur et en moi. Elles couleront comme une musique. Je Les attacherai à mes mains et en moi, comme dans la terre, Elles creuseront des sillons. Pour vivre selon le cœur de Dieu, je brûlerai ce qui est inutile, mes colères et ma dureté, mes tristesses semblables à l’eau noire qui coule sous le pont, et mon désir d’avoir toujours raison. Je brûlerai au feu de Dieu et je jetterai les cendres, et mon cœur sera neuf comme le soleil du matin s’échappant du brouillard de la nuit.
Amen. »

Prenez bien soin de vous et de ceux que vous aimez et… aimez peut-être moins et à demain

 Hélène Geas

Retrouvez toutes les méditations publiées antérieurement en cliquant ici.

L’Eglise catholique de Belgique suspend toutes les célébrations publiques.

En raison de l’expansion de l’épidémie du Corona virus, les évêques de Belgique décident ce jour de suspendre toutes les célébrations liturgiques publiques dans notre pays. Cette décision est effective dès ce weekend du 14 mars et restera en vigueur jusqu’au vendredi 3 avril au moins.

Les baptêmes, mariages et funérailles pourront se dérouler en cercle restreint.

Pour les autres rencontres et réunions pastorales, la plus grande prudence sera demandée.

Les églises demeureront ouvertes pour la prière ou la méditation personnelle.

Les évêques appellent les croyants à vivre ce carême comme un temps de prière, de conversion, de partage fraternel, et d’une plus grande attention à autrui.

Les textes bibliques habituels de la liturgie continueront à inspirer individuellement ou en famille notre progression vers Pâques.

Les sites web de Cathobel, Kerknet, KTO, RCF, Kerk en Leven, les célébrations en radio-tv, RTBF et VRT, les diffusions en live-streaming pourront y contribuer.

Les évêques expriment toute leur reconnaissance à tous ceux et celles qui mettent tout en œuvre pour arrêter l’extension du Covid19 et qui entourent de leurs meilleurs soins les personnes atteintes par la maladie.

SIPI -Bruxelles, jeudi 12 mars 2020

Dimanche 10 juin à 15h : Messe de rassemblement et d’au revoir du doyen

Dimanche 10 juin à 15h à Saint Remacle, messe de rassemblement : clôture de l’année pastorale et fin de mission de notre curé-doyen François-Xavier Jacques (lors de cette messe, vente de pansements au profit des actions de l’abbé Marc Truyens, au Congo)

Ce week-end-là, les autres messes de l’unité pastorale sont supprimées, sauf les messes du dimanche à 18h à Notre Dame et à 7h30 et 11h à la Chapelle Saint-Lambert.

Les horaires des messes habituelles peuvent être consultés sur ce site à la page des célébrations.

Gaudete et Exsultate : cinq clés d’interprétation par Jean-Pierre Delville, évêque de Liège

Photo éditions “Artège”

 

La nouvelle exhortation apostolique « Gaudete et exsultate » du pape François : cinq clés d’interprétation par Jean-Pierre Delville, évêque de Liège.

Le texte intégral de « Gaudete et exsultate » est disponible sur le site du vatican en cliquant ici.

Une vidéo youtube tout en bas de la page nous permet de revoir une émission de TV sur le sujet.

 

 

 

L’exhortation « Gaudete et exsultate » du pape François : cinq clés d’interprétation par Jean-Pierre Delville, évêque de Liège

Publiée le 19 mars 2018, en la fête de saint Joseph, l’exhortation apostolique « Gaudete et exsultate » du pape François est centrée « sur l’appel à la sainteté dans le monde actuel ». Le but général de ce document est d’inviter chaque chrétien à un cheminement personnel sur la voie de la sainteté ; c’est donc une invitation adressée à tous. Pour préciser le cheminement de la pensée du pape, je propose de voir dans chacun des 5 chapitres une question sous-jacente concernant la sainteté. Voici comment je les formulerais : la sainteté, pour qui ? (ch. 1), pourquoi ? (ch. 2), c’est quoi ? (ch. 3), comment ? (ch. 4), et quand ? (ch. 5). Parcourons ce questionnement et voyons les réponses que propose le pape. Je choisis pour cela les phrases qui me paraissent les plus emblématiques.

Le chapitre 1, intitulé « L’appel à la sainteté » répond à la question « pour qui ? » et le pape formule sa thèse : « ce que je voudrais rappeler par la présente Exhortation, c’est surtout l’appel à la sainteté que le Seigneur adresse à chacun d’entre nous » (10). « Ce qui importe, c’est que chaque croyant discerne son propre chemin et mette en lumière le meilleur de lui-même » (11). Le pape met cela en lumière en présentant différents exemples de saints, des hommes et des femmes (12), des gens de différentes époques, depuis les martyrs de l’Église primitive jusqu’aux martyrs d’aujourd’hui, et spécialement ceux de toutes les confessions chrétiennes (9). C’est une sainteté qui se vit aussi en peuple et en communauté (6, 7). Dans ce chapitre, le pape s’adresse au lecteur en « tu » : c’est exceptionnel dans une document pontifical. C’est une manière de personnaliser le discours ; il est « pour toi aussi » (14). Le pape rappelle à chacun son itinéraire de foi, depuis son baptême et le don de l’esprit Saint (15). Il épingle les gestes concrets de la sainteté ; par exemple, face à la tentation de parler mal de l’autre, savoir se dire : « Non, je ne dirai du mal de personne » (16). La sainteté, c’est un chemin de conversion. Comme l’écrivait le cardinal Van Thuân lorsqu’il était en prison : « Je saisis les occasions qui se présentent chaque jour, pour accomplir les actes ordinaires de façon extraordinaire » (17). Le pape ajoute : « Toi aussi, tu as besoin de percevoir la totalité de ta vie comme une mission » (23). Pour cela, il faut être en présence du Seigneur, car la sainteté « consiste à s’associer à la mort et à la résurrection du Seigneur d’une manière unique et personnelle, à mourir et à ressusciter constamment avec lui » (20). Il peut y avoir des spiritualités des différents états de vie, « par exemple, d’une spiritualité du catéchiste, d’une spiritualité du clergé diocésain, d’une spiritualité du travail, une spiritualité de la mission, une spiritualité écologique » (28). Le pape conclut ce chapitre en disant : « N’aie pas peur de viser plus haut, de te laisser aimer et libérer par Dieu » (34).

Le chapitre 2 répond à la question « Pourquoi la sainteté ? », en épinglant « deux ennemis subtils de la sainteté » (35). À travers ces deux côtés négatifs, le pape fait apparaître deux raisons positives de la sainteté : on doit être saint pour faire de sa vie un chemin de découverte et pour vivre sa vie dans l’action de grâces et le « merci ». Si on fait l’inverse, on vise une connaissance absolue des choses et on veut tirer son plan tout seul : ce sont les deux ennemis dont parle le pape et qu’il rattache à d’anciennes hérésies : le gnosticisme et le pélagianisme. Le gnosticisme, c’est « un élitisme narcissique et autoritaire, où, au lieu d’évangéliser, on analyse et classifie les autres » ; et dans le pélagianisme, « au lieu de faciliter l’accès à la grâce, les énergies s’usent dans le contrôle » (35). Le gnosticisme est l’aliénation de l’intelligence et le pélagianisme est l’aliénation de la volonté.

Le gnosticisme, c’est « lorsque quelqu’un a réponse à toutes les questions ; cela montre qu’il n’est pas sur un chemin sain » (41). Par contre, « si nous nous laissons guider par l’Esprit plus que par nos raisonnements, nous pouvons et nous devons chercher le Seigneur dans toute vie humaine » (42). La sainteté, c’est donc la vie de quelqu’un portée par son histoire personnelle.

Le pélagianisme, de son côté, laisse la volonté tout régler dans la vie, sans accepter la présence de l’autre ni la grâce de Dieu. C’est, par exemple, « la fascination de pouvoir montrer des conquêtes sociales et politiques, l’ostentation dans le soin de la liturgie, de la doctrine et du prestige de l’Église, la vaine gloire liée à la gestion d’affaires pratiques, l’enthousiasme pour les dynamiques d’autonomie et de réalisation autoréférentielle » (57). Au contraire, « il nous faut accepter joyeusement que notre être soit un don, et accepter même notre liberté comme une grâce » (55).

Le chapitre 3 sur la sainteté répond à la question : « c’est quoi ? » Et il donne une réponse lumineuse : c’est vivre les béatitudes, c’est-à-dire vivre la solidarité avec les pauvres. Le pape souligne que le mot « heureux » (« beatus », en latin), qui ouvre chaque béatitude proclamée par Jésus (Mt 5, 3-12), est devenu le mot qui signifie un « saint », « parce qu’il exprime le fait que la personne qui est fidèle à Dieu et qui vit sa Parole atteint, dans le don de soi, le vrai bonheur » (64). « Jésus déclare heureux les pauvres en esprit, ceux qui ont le cœur pauvre, où le Seigneur peut entrer avec sa nouveauté constante » (68). Le pape résume ainsi les béatitudes successives : « Réagir avec une humble douceur, c’est cela la sainteté ! » (74). « Savoir pleurer avec les autres, c’est cela la sainteté ! » (76). « Rechercher la justice avec faim et soif, c’est cela la sainteté ! » (79). « Semer la paix autour de nous, c’est cela la sainteté ! » (89). « Accepter chaque jour le chemin de l’Évangile même s’il nous crée des problèmes, c’est cela la sainteté ! » (94). La béatitude « Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde » est expliquée ainsi : « Donner et pardonner, c’est essayer de reproduire dans nos vies un petit reflet de la perfection de Dieu, qui donne et pardonne en surabondance » (81). C’est ainsi que l’accueil des immigrés est un devoir impérieux sur la voie de la sainteté : « il ne s’agit pas d’une invention d’un Pape ou d’un délire passager ! » (103).

Le chapitre 4, intitulé « Quelques caractéristiques de la sainteté dans le monde actuel », présente le « comment ? » de la sainteté (110). Il nous dit le style de la sainteté. Première caractéristique, l’endurance : « c’est d’être centré, solidement axé, sur Dieu qui aime et qui soutient » (112), y compris à travers les humiliations qu’on peut subir. Ensuite, le pape relève la joie et l’humour (122). Je ne pense pas que des papes aient souvent parlé d’humour dans leurs documents officiels ! Mais le pape François insiste : « Ordinairement, la joie chrétienne est accompagnée du sens de l’humour, si remarquable, par exemple, chez saint Thomas More, chez saint Vincent de Paul ou chez saint Philippe Néri » (126) ; il ajoute : « la mauvaise humeur n’est pas un signe de sainteté ! ». Troisième caractéristique, l’audace et la ferveur : ce que saint Paul appelle la parrésia (129). « La parrésia est un sceau de l’Esprit, une marque de l’authenticité de l’annonce » (132). C’est pourquoi « Dieu est toujours une nouveauté, qui nous pousse à partir sans relâche et à nous déplacer pour aller au-delà de ce qui est connu, vers les périphéries et les frontières » (135). Et le pape ajoute avec humour : « Il faut, certes, ouvrir la porte du cœur à Jésus-Christ, car il frappe et appelle (cf. Ap 3, 20). Mais parfois, je me demande si, à cause de l’air irrespirable de notre auto-référentialité, Jésus n’était pas déjà en nous, frappant pour que nous le laissions sortir ! » (136). Ensuite, quatrième caractéristique du style de la sainteté, c’est l’engagement « en communauté » (140) : « La sanctification est un cheminement communautaire, à faire deux à deux. C’est ainsi que le reflètent certaines communautés saintes. En diverses occasions, l’Église a canonisé des communautés entières qui ont vécu héroïquement l’Évangile ou qui ont offert à Dieu la vie de tous leurs membres » (141). Je me permets d’introduire ici l’exemple de saint Théodore de Celles et de ses compagnons, fondateurs de l’Ordre des croisiers, à Huy, au 13e siècle. Enfin, dernière caractéristique du style de la sainteté, c’est qu’elle est « en prière constante » (147). Comme disait saint Jean de la Croix : « Efforcez-vous de vivre dans une oraison continuelle, sans l’abandonner au milieu des exercices corporels » (148). Saint Jean-Paul II insistait aussi sur l’importance de la prière : « C’est la contemplation du visage de Jésus mort et ressuscité qui recompose notre humanité, même celle qui est fragmentée par les vicissitudes de la vie, ou celle qui est marquée par le péché. Nous ne devons pas apprivoiser la puissance du visage du Christ » (151). Le pape François ajoute que la prière reconstitue notre histoire personnelle : « L’histoire ne disparaît pas non plus. La prière, précisément parce qu’elle s’alimente du don de Dieu qui se répand dans notre vie, devrait toujours faire mémoire » (153). La prière s’alimente à la Parole de Dieu : « celle-ci appartient au cœur et à l’identité même de la vie chrétienne » (156). Et elle « nous conduit à l’Eucharistie, où cette même Parole atteint son efficacité maximale, car elle est présence réelle de celui qui est la Parole vivante » (157).

Dans le chapitre 5, intitulé « Combat, vigilance et discernement », le pape pose la question du « quand ? » de la sainteté. Il répond : dès aujourd’hui, car « la vie chrétienne est un combat permanent » (158). « C’est aussi une lutte permanente contre le diable qui est le prince du mal » (159). En effet, « la conviction que ce pouvoir malin est parmi nous est ce qui nous permet de comprendre pourquoi le mal a parfois tant de force destructrice ». Il faut donc du discernement : « C’est aussi un don qu’il faut demander. Si nous le demandons avec confiance au Saint Esprit, et que nous nous efforçons en même temps de le développer par la prière, la réflexion, la lecture et le bon conseil, nous pourrons sûrement grandir dans cette capacité spirituelle » (166). Il s’agit bien d’un vécu actuel : « Le discernement des esprits nous libère de la rigidité qui n’est pas de mise, devant l’éternel aujourd’hui du Ressuscité » (173). « Cela nous fait voir que le discernement n’est pas une autoanalyse intimiste, une introspection égoïste, mais une véritable sortie de nous-mêmes vers le mystère de Dieu qui nous aide à vivre la mission à laquelle il nous a appelés pour le bien de nos frères » (175).

Le pape conclut par un appel à la vierge Marie : « Elle n’accepte pas que nous restions à terre et parfois elle nous porte dans ses bras sans nous juger. Parler avec elle nous console, nous libère et nous sanctifie. La Mère n’a pas besoin de beaucoup de paroles, elle n’a pas besoin que nous fassions trop d’efforts pour lui expliquer ce qui nous arrive. Il suffit de chuchoter encore et encore : Je vous salue Marie… » (176).


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Vendredi 23 février : le pape nous invite à une journée de prière et de jeûne pour la paix

Vendredi 23 février prochain, vendredi de la première semaine de carême, le pape invite à une journée de prière et de jeûne pour la paix, en particulier pour les populations de la République démocratique du Congo et pour du Soudan du Sud

Le pape a aussi invité « les frères et sœurs non catholiques et non chrétiens à s’associer à cette initiative, de la façon qu’ils jugeront opportune ». « Tous ensemble », a-t-il encouragé.

Et le pape François de poursuivre : « Notre Père céleste écoute toujours ses enfants qui crient vers Lui dans la douleur et dans l’angoisse, « il guérit les cœurs brisés et soigne leurs blessures » (Ps 146,3). J’adresse un appel insistant pour que nous aussi nous écoutions ce cri et, que chacun, en conscience, devant Dieu, nous nous demandions : “Que puis-je faire moi-même pour la paix ?”. »

« Nous pouvons certainement prier ; mais pas seulement, a insisté le pape : chacun peut dire concrètement “non” à la violence pour ce qui dépend de lui ou d’elle. Car les victoires obtenues par la violence sont de fausses victoires ; tandis que travailler pour la paix fait du bien à tous ! »

Le message du Pape François à l’occasion du carême

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Val Dieu : Fêtes de la St Bernard – Août 2017

Dimanche 13

  • 11h00 : Eucharistie
  • 16h00 : Bénédiction des automobilistes, pèlerins et touristes
  • 16h30 : Conférence par Dom Vladimir, abbé de Lérins “Apprendre à se connaître, à l’école de St Bernard”
  • 18h00 : Vêpres

 

Mardi 15: Fête de Notre-Dame de l’Assomption

  • 11h00 : Eucharistie
  • 16h15 : Vêpres

 

Du samedi 19 au dimanche 20: “24 heures de la Bible”
Un weekend de vacances pour les amoureux de la Parole!
(Possibilité de participer “à la carte” – suivre le fléchage)

Samedi 19

  •  8h00 : Laudes
  • 12h30 : Repas pique-nique (boissons sur place)
  • 18h00 : Vêpres
  • 19h00 : Repas pique-nique (boissons sur place)
  • 21h00 : Complies et poursuite de la lecture

Dimanche 20 : Fête de Saint Bernard

  •  4h30 : Vigiles
  •  6h00 : Lectio Divina
  •  8h00 : Laudes
  • 11h00 : Eucharistie pour les pèlerins du Val Dieu
  • 16h00: Bénédiction des automobilistes, pèlerins et touristes
  • 16h15 : Vêpres

Du 11 au 31 août, dans la basilique, exposition de photos
“Val-Dieu aujourd’hui” (de Luc GERAIN)

Cliquez ici pour un résumé du programme en PDF.